APPEL À CONTRIBUTIONS
Les Langues Modernes n° 4-2011
Date limite: 7 mars 2011
Thème : « L'environnement et les langues vivantes »
Coordinateur : Bernard Delahousse – IUT A-Lille 1.
Dates à retenir :
- 7 mars 2011 : soumission des propositions d'articles (1 page, env. 2500 signes, espaces compris) au coordinateur et à la Rédactrice en Chef, pour validation du projet.
- 14 mars 2011 : validation ou non de la proposition par le Comité éditorial transmise aux auteurs.
- 22 avril 2011 : envoi des tapuscrits au coordinateur et à la Rédactrice en Chef.
- 21 mai 2011 : examen des articles par le Comité de lecture des Langues Modernes.
- 30 juin 2011 : remise des articles finalisés selon les commentaires du Comité de lecture.
- 30 décembre 2011 : publication du numéro 4-2011.
Contacts :
- Bernard Delahousse : bdelahousse@free.fr
- Copie à la Rédactrice en Chef des Langues Modernes : Marie-Pascale Hamez, marie-pascale.hamez@orange.fr
Orientation du numéro
Le thème de ce numéro porte non pas sur ce que l'on appelle communément « l'environnement de la classe de langue » (c'est-à-dire les conditions d'enseignement et d’apprentissage, les ressources et matériels mis à disposition, les jumelages, méthodes...) mais sur l'environnement en tant que thématique majeure de notre société mondialisée : le nucléaire et ses déchets, les OGM, le réchauffement climatique, les pollutions, le développement durable, le traitement des déchets, etc.
Cette thématique ainsi définie comporte indéniablement des volets multiples : politiques, économiques, sociaux, sociétaux, culturels, voire linguistiques. Chaque pays a sa propre manière d'aborder les questions environnementales et d'appliquer (ou refuser) les traités internationaux.
Le CECRL préconise une démarche actionnelle dans laquelle l'apprenant doit être un acteur social capable, entre autres, de « mieux comprendre le mode de vie et la mentalité d'autres peuples et leur patrimoine culturel ». Dans son chapitre 4, il précise les quatre domaines possibles d'utilisation de la langue - personnel, public, professionnel, éducationnel – et souligne que nombre de situations relèvent de plusieurs domaines. L'environnement fait partie de ces contextes : il concerne aussi bien la vie de tous les jours que la responsabilité du citoyen ou du professionnel. Par ailleurs, les programmes de l'Éducation nationale en France incluent l'éducation au développement durable (EED) dans la formation des élèves de la maternelle au lycée, et les textes prévoient explicitement que « toutes les disciplines sont concernées ».
Ce numéro 4-2011 vise donc à faire le point sur les questions et/ou réflexions liées à l'utilisation pédagogique de cette thématique en classe de langue, ainsi que sur les expériences de terrain menées tant dans le cadre de TPE (exposition, journal, film, etc.), de débats, d'échanges de classes... et ce, de l'école élémentaire à l'université, ainsi qu'en formation des enseignants. Les articles pourront aborder une ou plusieurs des problématiques ci-dessous :
- Pourquoi travailler sur des questions environnementales en classe de langue ? Quels peuvent être les objectifs ? Quels sont les enjeux ?
- Quels sont les apports des langues vivantes à l'éducation au développement durable (EDDE) et plus généralement à la sensibilisation des élèves au respect de l'environnement ?
- À l'inverse, quels peuvent être les apports (lexicaux, linguistiques, culturels...) de la question environnementale, déclinée sous toutes ses formes, à l'enseignement et à l’apprentissage des langues-cultures ?
- Sur le plan culturel, quels enseignements peut-on tirer de la comparaison entre les politiques environnementales nationales des pays dont on enseigne la langue ? De même, le vocabulaire de l'environnement d'une langue donnée renseigne-t-elle sur le mode de vie du pays ?
- Quelles activités mener avec l'apprenant en classe ? Sous forme de projet : journal, exposition, film, débat, échanges entre élèves ou entre classes, etc. ?
- Quels supports privilégier ? Quelle démarche ? etc.
Cette liste de questions n'est pas exhaustive, et le numéro accueillera des articles qui aborderaient d’autres problématiques, qu’il s’agisse d’articles généraux, d'analyses détaillées de séquences ou de projets, de comptes rendus d'expériences.
Politique éditoriale
- Le lectorat : la revue Les Langues Modernes est une publication « généraliste » pour un vaste public de spécialistes de langues : enseignants du primaire et du secondaire, universitaires et chercheurs en didactique, linguistique, civilisation, littérature... et ce dans toutes les langues. Les auteurs tiendront compte de la spécificité et de la diversité de ce lectorat, tant dans le contenu que dans la forme de leur article, qui doit être « accessible » au plus grand nombre.
- Le format : la revue Les Langues Modernes accepte deux types de contribution :
* des articles courts, tels que des comptes rendus d’expérience, des témoignages ou points de vue, etc. qui ne dépasseront pas 15 000 signes, espaces compris.
* des articles longs, traitant de questions plus théoriques ou générales, qui ne dépasseront pas 20 000 signes, espaces et bibliographie compris.
- La procédure : Dans un premier temps, les auteurs soumettent leur proposition d'article (texte d'une page A4 maximum) au coordinateur et aux rédacteurs en chef, pour validation (ou non) du projet. Puis, après avoir rédigé l'article en fonction des commentaires et suggestions qui leur sont faits, ils leur envoient une version électronique (fichier au format .doc) en vue de l'examen par le Comité de lecture de la revue. Enfin, après corrections et modifications éventuelles de leur texte, ils adressent aux mêmes la version finale par voie électronique (formats .doc + .pdf) et, parallèlement, ils envoient une version papier (impression laser) à la seule *Rédactrice en chef (adresse ci-dessous).
- L’article : il doit être inédit et précédé d’un résumé en français et de mots-clés. Des consignes éditoriales détaillées et une feuille de style seront fournies aux auteurs par les rédacteurs en chef lors de la phase de rédaction de l'article. Elles sont également disponibles sur le site www.aplvlanguesmodernes.org .
- La publication : tout article accepté par le Comité de lecture des Langues Modernes peut être publié soit dans la revue soit en ligne sur le site sus-mentionné, dans l'Espace réservé aux abonnés, auquel cas le titre et l’auteur sont signalés dans le sommaire du numéro et le titre apparaît sur la couverture de la revue. La taille de l’article n’est pas limitée lorsque l'article est publié sur le site.
* Marie-Pascale Hamez, rédactrice en chef des Langues Modernes
APPT 4, Résid. Vauban, 8 allée Vauban 59650 VILLENEUVE D'ASCQ
Les Langues Modernes n° 4-2011
Date limite: 7 mars 2011
Thème : « L'environnement et les langues vivantes »
Coordinateur : Bernard Delahousse – IUT A-Lille 1.
Dates à retenir :
- 7 mars 2011 : soumission des propositions d'articles (1 page, env. 2500 signes, espaces compris) au coordinateur et à la Rédactrice en Chef, pour validation du projet.
- 14 mars 2011 : validation ou non de la proposition par le Comité éditorial transmise aux auteurs.
- 22 avril 2011 : envoi des tapuscrits au coordinateur et à la Rédactrice en Chef.
- 21 mai 2011 : examen des articles par le Comité de lecture des Langues Modernes.
- 30 juin 2011 : remise des articles finalisés selon les commentaires du Comité de lecture.
- 30 décembre 2011 : publication du numéro 4-2011.
Contacts :
- Bernard Delahousse : bdelahousse@free.fr
- Copie à la Rédactrice en Chef des Langues Modernes : Marie-Pascale Hamez, marie-pascale.hamez@orange.fr
Orientation du numéro
Le thème de ce numéro porte non pas sur ce que l'on appelle communément « l'environnement de la classe de langue » (c'est-à-dire les conditions d'enseignement et d’apprentissage, les ressources et matériels mis à disposition, les jumelages, méthodes...) mais sur l'environnement en tant que thématique majeure de notre société mondialisée : le nucléaire et ses déchets, les OGM, le réchauffement climatique, les pollutions, le développement durable, le traitement des déchets, etc.
Cette thématique ainsi définie comporte indéniablement des volets multiples : politiques, économiques, sociaux, sociétaux, culturels, voire linguistiques. Chaque pays a sa propre manière d'aborder les questions environnementales et d'appliquer (ou refuser) les traités internationaux.
Le CECRL préconise une démarche actionnelle dans laquelle l'apprenant doit être un acteur social capable, entre autres, de « mieux comprendre le mode de vie et la mentalité d'autres peuples et leur patrimoine culturel ». Dans son chapitre 4, il précise les quatre domaines possibles d'utilisation de la langue - personnel, public, professionnel, éducationnel – et souligne que nombre de situations relèvent de plusieurs domaines. L'environnement fait partie de ces contextes : il concerne aussi bien la vie de tous les jours que la responsabilité du citoyen ou du professionnel. Par ailleurs, les programmes de l'Éducation nationale en France incluent l'éducation au développement durable (EED) dans la formation des élèves de la maternelle au lycée, et les textes prévoient explicitement que « toutes les disciplines sont concernées ».
Ce numéro 4-2011 vise donc à faire le point sur les questions et/ou réflexions liées à l'utilisation pédagogique de cette thématique en classe de langue, ainsi que sur les expériences de terrain menées tant dans le cadre de TPE (exposition, journal, film, etc.), de débats, d'échanges de classes... et ce, de l'école élémentaire à l'université, ainsi qu'en formation des enseignants. Les articles pourront aborder une ou plusieurs des problématiques ci-dessous :
- Pourquoi travailler sur des questions environnementales en classe de langue ? Quels peuvent être les objectifs ? Quels sont les enjeux ?
- Quels sont les apports des langues vivantes à l'éducation au développement durable (EDDE) et plus généralement à la sensibilisation des élèves au respect de l'environnement ?
- À l'inverse, quels peuvent être les apports (lexicaux, linguistiques, culturels...) de la question environnementale, déclinée sous toutes ses formes, à l'enseignement et à l’apprentissage des langues-cultures ?
- Sur le plan culturel, quels enseignements peut-on tirer de la comparaison entre les politiques environnementales nationales des pays dont on enseigne la langue ? De même, le vocabulaire de l'environnement d'une langue donnée renseigne-t-elle sur le mode de vie du pays ?
- Quelles activités mener avec l'apprenant en classe ? Sous forme de projet : journal, exposition, film, débat, échanges entre élèves ou entre classes, etc. ?
- Quels supports privilégier ? Quelle démarche ? etc.
Cette liste de questions n'est pas exhaustive, et le numéro accueillera des articles qui aborderaient d’autres problématiques, qu’il s’agisse d’articles généraux, d'analyses détaillées de séquences ou de projets, de comptes rendus d'expériences.
Politique éditoriale
- Le lectorat : la revue Les Langues Modernes est une publication « généraliste » pour un vaste public de spécialistes de langues : enseignants du primaire et du secondaire, universitaires et chercheurs en didactique, linguistique, civilisation, littérature... et ce dans toutes les langues. Les auteurs tiendront compte de la spécificité et de la diversité de ce lectorat, tant dans le contenu que dans la forme de leur article, qui doit être « accessible » au plus grand nombre.
- Le format : la revue Les Langues Modernes accepte deux types de contribution :
* des articles courts, tels que des comptes rendus d’expérience, des témoignages ou points de vue, etc. qui ne dépasseront pas 15 000 signes, espaces compris.
* des articles longs, traitant de questions plus théoriques ou générales, qui ne dépasseront pas 20 000 signes, espaces et bibliographie compris.
- La procédure : Dans un premier temps, les auteurs soumettent leur proposition d'article (texte d'une page A4 maximum) au coordinateur et aux rédacteurs en chef, pour validation (ou non) du projet. Puis, après avoir rédigé l'article en fonction des commentaires et suggestions qui leur sont faits, ils leur envoient une version électronique (fichier au format .doc) en vue de l'examen par le Comité de lecture de la revue. Enfin, après corrections et modifications éventuelles de leur texte, ils adressent aux mêmes la version finale par voie électronique (formats .doc + .pdf) et, parallèlement, ils envoient une version papier (impression laser) à la seule *Rédactrice en chef (adresse ci-dessous).
- L’article : il doit être inédit et précédé d’un résumé en français et de mots-clés. Des consignes éditoriales détaillées et une feuille de style seront fournies aux auteurs par les rédacteurs en chef lors de la phase de rédaction de l'article. Elles sont également disponibles sur le site www.aplvlanguesmodernes.org .
- La publication : tout article accepté par le Comité de lecture des Langues Modernes peut être publié soit dans la revue soit en ligne sur le site sus-mentionné, dans l'Espace réservé aux abonnés, auquel cas le titre et l’auteur sont signalés dans le sommaire du numéro et le titre apparaît sur la couverture de la revue. La taille de l’article n’est pas limitée lorsque l'article est publié sur le site.
* Marie-Pascale Hamez, rédactrice en chef des Langues Modernes
APPT 4, Résid. Vauban, 8 allée Vauban 59650 VILLENEUVE D'ASCQ
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